Publié par Gérard Glatt

A Cancale, ces marques que la pluie effacera.

A Cancale, ces marques que la pluie effacera.

Il y a trois jours. Ces marques, sur la chaussée, devant chez moi. Quatre d'entre elles situent l'emplacement du véhicule, une camionnette blanche, où eut lieu l'accident. La croix de même couleur, en bas, à gauche de l'image, signifie l'emplacement où la personne, une voisine de palier, est tombée.

Je n'ai pas été témoin de l'accident. De ma fenêtre, lorsque je suis arrivé, je n'ai vu que la personne accidentée, allongée sur le sol, et celle qui conduisait le véhicule. Toutes deux étaient entourées de pompiers, de gendarmes et d'ambulanciers. Il y avait là aussi les inévitables badauds.

Mon propos : Je ne sais pas qui avait tort ou raison. Je ne sais pas davantage si, effectivement, quelqu'un a eu tort, du piéton ou du chauffeur du véhicule. Peu importe, d'ailleurs ! Les assureurs s'en débrouilleront. C'est leur métier. En revanche, ce dont je suis certain, c'est que cela aurait pu être évité et que ça ne l'a pas été.

Oui, cela aurait pu être évité, mais ça ne l'a pas été. Comme trop souvent. Comme toujours.

© Photo G. Glatt

Le jour même, à cette heure.

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